A l’encontre de la réputation de « légèreté » de la cité phocéenne et de certaines villes du pourtour méditerranéen, Dolorès Marat donne à voir à travers ses images une certaine « gravité » méditerranéenne. Marseille, Bastia, la Tunisie, la Syrie, la Jordanie, l’Egypte, l’Italie sont les premières destinations où Dolorès Marat se « pose » de façon systématique depuis 2005; où elle regarde, marche et photographie. Passionnée par ces villes mythiques, elle s’intéresse à l’aspect immuable de ce vieux monde.
Les prochaines destinations étant l’Algérie, la Turquie, la Grèce, la Sicile, Chypre… ce parcours ou pèlerinage s’achèvera en 2012, quand Dolorès Marat aura le sentiment d’avoir trouvé le lien invisible et éternel qui fait de la Méditerranée la « Mare Midi Terra ».