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  • Dorothée Davoise, Elena Costelian, Florent L'Hériteau, Jérôme Bertin, Mathieu Leonard, Maxwell Farington, Sebastien Chan Pao
  • OÙ en partenariat
  • Jeudi 23 mars à 19h Performance d’Elena Costelian & Vernissage jusqu’à 20h30

    Artiste en résidence à OÙ lieu d’exposition pour l’art actuel

    OÙ en partenariat avec Astérides et Voyons Voir*

    Performance d’Elena Costelian « Ailleurs, c’est ici ». En présence musicale de Florent L’Hériteau et Sebastien Chan Pao. Textes lus par Svetlana Kanevski & Elena Costelian. Lecteurs – Performeurs : Svetlana Kanevski / Jérôme Bertin / Mathieu Leonard / Maxwell Farington / Elena Costelian

    L’exposition « Duelle » de Dorothée Davoise et Elena Costelian promet une rencontre entre deux artistes aux univers esthétiquement éloignés mais ontologiquement proches. Le voyage, le déplacement géographique, s’ancrent chez elles autour d’une expérience vécue, individuelle ou collective. Dorothée Davoise part en quête d’un passé familial et ramène des images de sites traduisant, par l’absence physique humaine, l’abandon. De son côté, Elena Costelian rejoue des lieux marqués par l’histoire récente au détour d’itinéraires soigneusement élaborés. Installations, performances et scénographies issus d’événements dramatiques renvoient à la mémoire commune mais également à sa propre histoire individuelle.

    Exposition ouverte du mercredi au samedi de 15h00 à 19h00

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    Dorothée DAVOISE

    Texte d’Hélène MEISEL

    Pour le catalogue Géographies Nomades

    Dans ses photographies comme dans ses sculptures, Dorothée Davoise tente la fixation d’états indéterminés. Les sites et constructions qu’elle photographie à Paris, Berlin ou Athènes sont interstitiels, à mi-chemin entre le chantier et la ruine : parcs d’attractions et terrains de jeux désertés, arbres effondrés ou rebus entreposés. Les séries des entrées parisiennes et des habitations de banlieues montrent également une attirance pour le seuil. Lieux de passage par excellence, les Halls d’immeubles (2003-2011) s’avèrent dépeuplés, comme la plupart des images de l’artiste. Miroirs et boîtes aux lettres suggèrent pourtant les allers et venues d’habitants qu’on imagine survenir à tous moments. Certainement, l’imminence de ce surgissement caractérise toute la démarche de l’artiste, qui, en se limitant au noir et blanc pressent à travers les jeux d’ombre et de lumière l’apparition d’un volume. Les sculptures de Dorothée Davoise sont généralement blanches. D’un blanc plâtreux qui opte pour l’opacité plutôt que pour une pureté augurale. Si les Flaques reprennent les contours incertains d’étendues liquides, elles en perdent la brillance : réalisées en ciment grisâtre, elles deviennent des fragments solides et glacés. Ailleurs, l’artiste photographie le bouillonnement d’un vent violent piégé dans des draps blancs, ou réalise un diamant dans une version surdimensionnée, faite d’un tissu blanc qui en annule l’éclat (Sans titre, 2010). Le facettage du solitaire contamine également un haut-relief accroché au mur : les pics blancs qui le hérissent évoquent la structure coupante d’un réseau cristallin autant que le coffrage dont Kurt Schwitters doubla sa demeure pour y cacher divers souvenirs (Merzbau). D’une manière similaire, le travail de Dorothée Davoise oscille entre submersion et émergence. Les trois photographies choisies pour l’exposition « Géographie nomades » paraissent d’abord totalement blanches, puis laissent progressivement entrevoir l’escarpement rocheux de montagnes abondamment enneigées. Une fois de plus, une couverture épaisse blanchit la forme, la neige accomplissant une sorte de surexposition poudreuse. Un aquarium redouble la dissolution alpine : une montagne faite de matière soluble y baigne sommet vers le bas, se désintégrant progressivement. L’eau du bac se trouble au fur et à mesure que la pyramide inversée s’y dissout, abolissant la transparence au profit de l’opacification. Hélène Meisel

    Texte de Dorothée Davoise – Le travail de Dorothée Davoise se développe à travers un échange entre la photographie et la sculpture, créant un dialogue entre ces deux médiums et témoignant ainsi d’une expérience de l’espace, d’une rencontre entre formes, matières et lumières. La photographie de Dorothée Davoise est avant tout une photographie documentaire, présentant l’état du monde sans artifices et plus précisément son évolution. Elle cherche à rendre compte de la diversité et de la richesse des paysages avec une volonté de faire survivre une certaine mémoire collective. Dans ses images, cela se traduit surtout par la déshérence, l’abandon et l’absence physique de l’humain. Pourtant l’empreinte de l’homme est au centre de son discours et sa présence en est presque systématiquement palpable. Ses photographies pointent les rapports souvent contradictoires qu’entretiennent l’architecture et la nature. Elle s’intéresse plus particulièrement aux interstices, aux espaces des milieux, au confluant du chantier et de la ruine. De même, dans ses sculptures, elle se sert d’éléments du quotidien qu’elle découvre presque par hasard et sans filtre préalable. Elle utilise des matériaux tels que le plâtre, le ciment, le bois, le carton pour créer ses sculptures. Elle introduit du rythme et des variations dans des formes simples, en travaillant sur la perception des objets et leur rapport à l’espace. La valeur du blanc lui permet de renforcer le travail de la forme, valorisée uniquement par l’ombre et la lumière sur le volume, ce qui permet d’évacuer tout autre questionnement et de se concentrer seulement sur la création d’un volume.

    Dorothée Davoise ; co-fondatrice de LOUISE, galerie associative, Pré-Saint-Gervais ; née en 1983, vit et travaille à Paris et est diplômée en 2011 de l’École des Beaux-Arts de Paris avec les félicitations du jury. Elle gagne le prix SFR Jeunes Talents / Le Bal en 2011, participe à divers expositions collectives et présente une exposition personnelle Layer upon layer à la galerie Entre à Paris (déc 2013). Elle vit et travaille à Paris où elle questionne les possibilités et les métamorphoses des matériaux sur la sculpture et la photographie. Entre le périssable et le durable, le visible et l’invisible, cette mutation des choses a toujours été au centre de sa démarche, cette notion est fondamentale pour comprendre son travail.

    Exposition personnelle : Layer upon layer, galerie Entre, Paris, 2013

    Exposition collective : Ceux qui arrivent, Le Bal, Paris, 2012 &  Géographies Nomades, texte d’Hélène Meisel, ed. Beaux-arts de Paris, exposition au Palais des Beaux-Arts à Paris.

    Catalogues
    2012   Géographies Nomades, texte d’Hélène Meisel, ed. Beaux-arts de Paris
    Catalogue des diplômés 2011, texte d’Hélène Meisel, ed. Beaux-arts de Paris
    2009   Grande Vista, texte de Didier Semin, ed. Beaux-arts de Paris

    Monographie
    2012   Topos, texte de Léa Bismuth, ed. Filigranes

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    Elena COSTELIAN

    Texte de Laurent BUFFET

    A propos du projet Tchernobyl on tour.  » Elena Costelian est venue à Tchenobyl par les chemins de son enfance. Née en Roumanie sous le régime de Ceausescu, exilée en France à l’âge de 12 ans, elle n’eut de cesse, depuis, dans des dispositifs scéniques aux confns de l’installation et de la performance, d’interroger l’Histoire politique du XXe siècle qui marqua si profondément son histoire personnelle. Le travail qu’elle a engagé en 2009, en se rendant en Ukraine aux abords de la zone contaminée par l’explosion de la centrale nucléaire, pourrait être compris comme une nouvelle exploration des territoires de cette enfance, afin, peut-être, d’en toucher cette fois les frontières spatiales et temporelles. … D’un sujet aussi grave, nourri par des rencontres faites sur le terrain, Elena Costelian a déjà tiré une exposition, présentée en 2012 à la Kunsthalle de Mulhouse. Composée de flms documentaires, de photographies, d’un décors reconstitué à partir d’une image faite dans les ruines de Pripyat, la ville jadis construite à proximité de la centrale, Tchernobyl Tour entendait, entre autres, dénoncer l’exploitation spectaculaire de la catastrophe, avec, en ligne de mire, les activités d’une agence de voyage éponyme qui offcie sur les lieux. Tchernobyl faisant sans doute partie de ces sujets dont on ne vient jamais à bout ; depuis, Elena Costelian poursuit son questionnement sur la représentation de la zone, à partir de l’expérience personnelle qu’elle en a faite. Elle présente ici une nouvelle série de cartes qui dessinent les contours de la menace radioactive, de la mémoire meurtrie et du spectre de la disparition. Une cartographie du désastre. » Laurent Buffet

    Texte d’Elena Costelian – Le travail d’Elena Costelian est ancré dans un processus lié à l’itinérance et à l’exploration de territoires singuliers dont l’image nous est familière. Ses travaux jouent avec l’idée de déplacements de l’image que nous avons de l’ailleurs. Des lieux témoins de l’histoire contemporaine font l’objet de prises de vues, créant une cartographie sensible qui concourent à une relecture de l’histoire. Images d’instants figés sur la pellicule, résidus de notre Histoire collective, que Elena Costelian s’attache a reconstituer en leurs donnant un volume, une échelle ainsi qu’une une profondeur de champ. Ces dispositifs type installation et performance mettent en scène le hors champ du cadrage photographique et posent la question de la véracité du récit historique figé par l’image. Ces reconstitutions ne sont jamais reproduites d’une manière historique, mais leurs mode réaliste révèlent les simulacres de l’Histoire contemporaine. L’idée de retour sur les lieux n’est pas sans lien avec l’expérience de l’exil. A travers ses errances, ponctuées de rencontres, l’artiste retranspose dans ces dispositifs scéniques le point d’intersection où s’entremêlent et se superposent la mémoire collective et individuelle; la petite histoire et la grande.  » J’envisage le voyage telle une Odyssée en prenant comme point de départ un lieu, un territoire que j’explore afn de bâtir un dispositif servant à reconstituer la trame narrative d’un récit « . La question du voyage, ainsi que la notion d’exotisme qui en découle traverse son oeuvre plastique. C’est en empruntant les itinéraires des possibles que artiste convie le visiteur à faire l’ expérience sensible d’une invitation à l’ailleurs.

    Pour OÙ lieu d’exposition pour l’art actuel, Elena Costelian prend le contrepied du nom donné au lieu d’exposition et propose une performance installation  » Ailleurs c’est ici « . Le titre du projet fait référence à une réfexion de Marguerite Duras à propos du flm India Song.  » Calcuta c’est ici. C’est souvent pas la peine d’aller la-bas, d’aller chercher l’exotisme et souvent on ne le trouve pas. On ne fait que se transporter dans l’exotisme mais on ne rend pas en compte. C’est comme les voyages, c’est la plus part du temps des faux voyages. Il n’y a de voyages que en profondeur.  » La performance propose de retranscrire des itinéraires au hasard, des rencontres dans Paris. Paris une rencontre improbable entre le surréalisme d’André Breton, le hasard de Marcel Duchamp, les dérives situationnistes de Guy Debord et le Traité de cocotologie d’Unamuno. Que reste-t-il de ce Paris là, du Paris des surréalistes, de la bohème de dada et de La société du spectacle ? Y a t-il encore du manifeste dans Paris ?  » Paris est une ville de transit que j’ai souvent traversée sans jamais m’y être vraiment arrêté… c’est une ville à l’image d’une gare. Un lieu de passage, une ville régie par un principe d’orientations de terminus oscillant entre gare du Nord, gare de l’Est, gare de Lyon, Saint Lazare et Montparnasse autant de lieux où ses textes ont été écrits, autant de rencontres et de prétextes à l’écriture.  »

    Elena Costelian est née en 1979 (Roumanie), elle est diplômée de l’École des Beaux Arts de Nantes et de l’École Supérieure Arts décoratifs de Strasbourg. En 2009, elle monte Transit, présentée au festival Première au Théâtre au Maillon de Strasbourg (FR). La pièce mêle installation, performance et théâtre et est diffusée sur Arte France et Allemangne. En 2010, elle présente  » Le désir gonfe  » une installation participative, commande du Centre Pompidou à Metz (FR). En 2011, elle participe à la biennale d’art Contemporain  » Evento  » à Bordeaux (FR). Toujours en 201, Elena Costelian initié avec Julie Meyer,  » Sail the world project « , autour d’un projet photographique et sonore qu’elles réalisent pendant le temps d’une traversée de l’Atlantique à bord d’un voilier (France – Caraibes). Pour sa première exposition personnelle, elle présente le projet  » Tchenobyl on tour  » en 2012 à la Kunstahlle de Mulhouse (FR), dont l’installation La Veillée est accompagnée d’une performance musicale en collaboration avec l’Orchestre Symphonique de Mulhouse (FR). Depuis 2009 elle collabore ponctuellement avec Central Booking puis le centre d’art White Box New-York (US). Sa première exposition personnelle à New-York à lieu au Center for Book Arts en 2013. Cette exposition est élaborée pendant un temps de résidence à la Friche de la belle de Mai et soutenue par Astérides (Marseille) ainsi que le centre d’art le CEEAC (Strasbourg).

    <http://www.elenacostelian.com/page-d-exemple> & <http://www.elenacostelian.com/>

    Voyons Voir* Résidence 2014 <http://voyonsvoir.org/blog/fiches_artistes/elena-costelian>. Exposition au Domaine de Saint-Ser, Puyloubier // Vernissage le 20/06/2014 – Exposition jusqu’au 31/10/2014. Le travail d’Elena Costelian est ancré dans un processus lié à l’itinérance et à l’exploration de territoires particuliers. Ces déplacements géographiques ne sont pas sans lien avec l’expérience de l’exil. Particulièrement sensible au rapport entre mémoire collective et individuelle, l’artiste s’attache à restituer à travers des performances et installations théâtralisées ces instants à peine perceptibles où l’on a ressenti une forte émotion. Son travail pour le Domaine vise brouiller les points de repères des visiteurs. Elle s’interroge sur la manière d’amener le visiteur à découvrir une multiplicité de points de vue jusqu’à le désorienter. Le promeneur sera amené à s’interroger non plus sur ce monument incontournable qu’est la Sainte-Victoire, mais sur les caractéristiques propres au terrain et souhaite détourner certains objets qui servent à baliser le paysage environnant, tels que la table d’orientation ou les balises de cheminement présentes dans ce même paysage.

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    Prestations  de l’association OÙ

    EXPOSITIONS, CONCERTS, PERFORMANCES, LECTURES, CONFÉRENCES, SPECTACLE VIVANT, DANSE, PROJECTIONS, CONVERSATIONS, MARCHES, DESIGN, ARTS DE LA RUE, ETC…

    OÙ lieu d’exposition pour l’art actuel58 rue Jean de Bernardy 13001 Marseille. Horaires et jours d’ouverture variables selon les événements in situ.

    OÙ et L’AventurePlace des Cèdres, 58 bis Boulevard Bouge angle rue du Marathon, quartier Malpassé dans le 13ème arrd de Marseille.

    OÙ résidences d’artistesMarseille (13) et Capbreton (40)

    OÙ en tournéeHotel Burrhus Supervues Vaison la Romaine (84), HLM et Galerie du 5ème Marseille (13), etc …

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    Contact

    OÙ bureau – Permanence 152 rue Paradis 13006 Marseille, tous les jours sur rdv

    T : 06 98 89 03 26

    F : 04.91.81.64.34

    M : ounousecrire@club-internet.fr

    W : http://www.ou-marseille.com/

    http://www.cnap.fr/ou-lieu-dexposition-pour-lart-actuel

    http://www.marseilleexpos.com/?page_id=3068

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    Axelle Régine GALTIER

    Présidente et responsable de la programmation artistique de l’association OÙ
<http://www.facebook.com/axelle.galtier?ref=tn_tnmn>

    Présidente et membre coresponsable des projets de l’association Perspective Trouble
<http://www.verif.com/societe/ASSOCIATION-PERSPECTIVE-TROUBLE-794538447/>

    Trésorière et membre coresponsable des projets du réseau associatif Marseille expos
<http://www.marseilleexpos.com/>

    Présidente et membre actif de Take Off Production – Association des Arts du spectacle vivant
<http://www.manageo.fr/fiche_info/508670429/36/take-off-production.html>

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    Plus d’informations

    Depuis le 1er mai 2000, l’association OÙ expérimente le projet OÙ lieu d’exposition pour l’art actuel à Longchamp-Friche 13001 – Ceci n’est pas une galerie – Leslie Compan. Le lieu d’exposition de la rue Jean de Bernardy, semble paradoxalement se situer dans un territoire indéterminé qui serait peut-être celui de l’art contemporain. Aménageant les possibles, OÙ est un territoire où se déterminent simultanément les espaces de création et des temps de regards. Mais la quête est ancré dans les réalités économiques et laborieuses de la création et de l’exposition, le lieu travaille à exploiter les contraintes. Ce qui motive OÙ relève davantage de la volonté de refléter le bouillonnement créateur des artistes, la dimension active de leur travail en tant que réalité. OÙ est avant tout LE lieu où l’on produit pour expérimenter, pour engager une quête artistique parfois inattendue. Les expositions présentées provoquent avant tout la rencontre entre les productions différentes et un large public.
En 2013 un 11 mai, l’événement dans l’espace public OÙ et L’Aventure à Malpassé 13013 voit le jour. Un rendez-vous qui mêle les arts de la rue et arts plastiques, est donné. Cet engagement est un moteur de régénération urbaine, musée à ciel ouvert en plein coeur des quartiers Malpassé 13ème jusqu’à Longchamp-Friche 1er. De quoi faire éclater le carcan des disciplines artistiques (ici, on n’imagine de formes que collaboratives, qui se fichent d’appartenir à un quelconque champ de la culture). Au commencement de cette propagation artistique, le point « OÙ et L’Aventure » à Malpassé 13013 Marseille, un volume de ciment, reste d’une oeuvre de Richard Baquié, l’Aventure, désormais détruite par manque d’entretien. Une dialectique le lie au terminus « OÙ lieu d’exposition pour l’art actuel » 13001 Marseille. Effectivement, tandis qu’à Malpassé l’espace et les murs extérieurs sont investis des interventions des artistes, le lieu d’exposition OÙ offre la visite d’une exposition dans l’espace et les murs intérieurs. Ces « murs » deviennent un creuset de « situations » et espace d’hospitalité. Les artistes participant aux projets invitent le visiteur à dialoguer, à inventer, à se déplacer, à produire, à tester.

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