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  • Clara de Asìs, Erin Gigl, Fanny Pitman, Hektor Mamet, Ideal Corpus, Jérôme Fino, Laura Vazquez
  • OUR HOUSE IN THE MIDDLE OF THE STREET
  • Expositions in situ, hors les murs et dans l’espace public, performances- concerts, conversation, banquet-bar et déambulation urbaine

    . 13 artistes

    ORÉ – Nicolas Ramel – Fanny Pitman – Liam Jedaburg Witter /

    Hektor Mamet – Erin Gigl – Sigurdur Atli Sigurdson – Mathieu Aimon – Ideal Corpus – Clara de Asìs – Laura Vazquez – Seb Chan Pao – Jerôme Fino

    . 2 lieux de présentation

    OÙ et L’Aventure 58bis Boulevard Bouge quartier Malpassé 13ème Marseille /

    OÙ lieu d’exposition pour l’art actuel 58 rue Jean de Bernardy 13001 Marseille

    . 2 horaires différents

    apéro 11h /

    soirée 18h > 23h

    Résidence des artistes in situ

    OÙ en partenariat avec l’Ecole Supérieure d’Art et de Design Marseille-Méditerranée, Triangle France et Astérides dans le cadre du PAC

    Un nouveau festival de propositions artistiques qui s’aventure cette année sur « la piste de l’oubli et des réminiscences ». De quoi faire éclater le carcan des disciplines artistiques (ici, on n’imagine de formes que collaboratives, qui se fichent d’appartenir au champ des arts plastiques, du spectacle vivant, du cinéma ou des idées). Dans un même temps OÙ investit autant l’espace d’exposition in situ que l’extérieur du 58 rue Jean de Bernardy dans le 1er, que Malpassé* dans le 13ème à Marseille.

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    Our House in the middle of the street

    ORÉ, Liam Jedaburg Witter, Hektor Mamet, Nicolas Ramel, Fanny Pitman, Erin Gigl, Jérôme Fino, Sigurdur Atli Sigurdsson & Mathieu Aimon, Clara de Asís & Laura Vazquez, Ideal Corpus et Seb Chan Pao.

    « Il y a des endroits pour l’art et d’autres qui ne le sont pas » (Réaction du Maire de New York à l’intervention de Banksy dans les rue de la Grosse Pomme en octobre 2013).

    Our House in the middle of the street est un événement dans l’espace public, un rendez-vous au moment du PAC qui mêle les arts de la rue et arts plastiques. Cet engagement est un moteur de régénération urbaine. Un musée à ciel ouvert en plein coeur des quartiers Longchamp 13001 et Malpassé 13013*. Ce territoire est un véritable laboratoire des arts actuels à la fois populaires et élitistes, qui donne à la mégapole une identité nouvelle. Au commencement de cette propagation artistique**, le point « Mal Passé » dans le 13ème arrondissement de Marseille, est un volume de ciment, reste d’une oeuvre de Richard Baquié, l’Aventure, désormais détruite par manque d’entretien. Une dialectique l’oppose au terminus : OÙ lieu d’exposition pour l’art actuel dans le 1er arrondissement. Effectivement, tandis que Malpassé 13013 et l’espace extérieur se remplissent des interventions** des artistes, le lieu d’exposition OÙ se vide de toute exposition traditionnelle. Il devient à la place un creuset de « situations » et espace d’hospitalité. Les artistes participant au projet invitent le visiteur à dialoguer, à inventer, à produire, à tester les « plats » qu’ils ont concocté et à s’attabler avec eux autour du mobilier d’Erin Gigl** spécialement conçu pour l’occasion . Faire de la cuisine une matière de réflexion qui, pratiquée par Daniel Spoerri dans les années 60, renoue aujourd’hui avec une forme plus primitive de rite collectif, à la fois archive, protocole et anticipation, la « recette » offre un modèle pour réfléchir à l’économie de l’oeuvre d’art, de sa conception à sa diffusion (dégustation qui viendra conclure un après-midi d’expositions, lectures, performances et concerts). À Malpassé, les propositions picturales, ou volumes, de Nicolas Ramel et du street artiste Oré*** revisitent la BMW et l’Aventure (parallélépipède de ciment). À OÙ, Liam Witter**** et Fanny Pittman mènent de subtils détournements d’objets issus de notre environnement quotidien. Devant OÙ, Hektor Mamet utilise aussi l’objet comme générateur de discussions. Sigurdur Atli Sigurdsson construit un bar « Rendez-vous » tenu par Ideal Copus et un espace en plein air pour y donner un concert avec Mathieu Aimon. Leur groupe s’appelle Wet. Seb Chan Pao glisse de la noise et à l’expérimentation sonore. Au même endroit Jérôme Fino propose une pièce interactive, sonore, sur laquelle chacun peut brancher sa playlist. Des uns aux autres, les oeuvres et « situations » poétiques et musicales de Clara de Asís et Laura Vazquez inventent un cheminement improvisé. La disparition d’une oeuvre formelle et l’émergence de nouvelles propositions qui réinventent le rapport à la ville et au territoire incitent les artistes à se détacher de la seule réalisation d’objets, donnant vie à des formes performatives, collaboratives, peut-être éphémères, à celles qui pourraient disparaître, avalées par la mégalopole. Un banquet, une conversation, un concert, une exposition, deviennent les parties émergées d’une oeuvre collective et globale. En sortant de la sphère privée, les propositions de Our House in the middle of the street contaminent l’environnement urbain. Artistes, publics, habitants, participent ensemble à un processus de régénération de l’espace public.

    * « OÙ monte un nouveau projet en lieu et place de la BMW de l’Aventure de Richard Baquié à Malpassé 13ème arrd, avis aux créateurs, sans distinction de genre, de médium, etc … !!! L’axe de recherche proposé par l’artiste invité devra s’agencer, rentrer en écho avec celui déjà en place bien que quasi disparu ou bien être transverse et par son traitement polymorphe rassembler ce qui peut définir l’identité rhizomatique de Marseille dans sa réalité contemporaine. Les artistes pourraient, suivant leur désir, traiter la problématique sans que cela n’empêche certaines d’opérer des glissements, en proposant un projet qui leur serait propre ou plus simplement en traitant le projet par le décalage pur et simple. » OÙ est en tournée à Malpassé* dans le 13ème arrondissement de Marseille. C’est une invitation donnée sous forme de carte blanche pour réaliser des oeuvres éphémères dans l’espace public sur « L’Aventure » et devant « La BMW ».

    ** « Forts de notre désir de nous ouvrir à toutes formes de création, du street art au design, il s’agit pour OÙ d’inventer des expositions d’une autre nature, en envisageant avec Our House un travail approfondi de commissariat collectif plutôt qu’une privatisation classique. Mais sans jamais instrumentaliser les artistes. Non pas défendre des objets, mais raconter une histoire avec des artistes curateurs prestigieux, comme ceux proposées par OÙ pour le PAC 2014. »

    *** « La street culture est à la frontière de la légalité et ne bénéficie d’aucune protection. C’est un phénomène éphémère, non réglementé, insolent, libre. Cela (le refus de ces artistes pour la médiatisation) permet toutes les transgressions d’un mouvement devenu un fait culturel universel. »

    **** « Liam Witter, artiste proposant le plus souvent des interventions publiques dans un environnement donné, s’associe au street-artiste ORÉ pour un projet de déambulation urbaine dans les quartiers Longchamp / La Belle de Mai / Malpassé. À priori désinvolte, cette autre forme d’itinérance entend bien « réenchanter » l’espace du quartier et de la ville du 1er jusqu’au 13 ème arrondissement. Un parcours délimité par les interventions des deux protagonistes générera une interaction entre un espace et ses habitants. Exposition, Installation in situ, Performance, Concert & Déambulation urbaine en écho au Printemps de l’Art Contemporain 2014. L’engagement de OÙ de promouvoir l’« Art de la rue » en tant que moteur de régénération urbaine, permettra de visiter une exposition-situation à ciel ouvert en plein coeur de la ville. Sous réserve et avec l’autorisation des propriétaires, murs privés, rideaux de fer, etc…, seront couverts de figures réalisées par les plus réputés des pirates venus du monde entier. Cette exposition et ces parcours seront accompagnés d’une vraie médiation tout public. »

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    TEXTES DE PRESENTATION GENERALE

    Liam JEDABURG WITTER

    La pratique de Liam Witter se manifeste par des interventions publiques. Elles consistent en des actions subversives qui se déroulent dans un environnement urbain. Son but est d’explorer comment le développement urbain, la régénération ou encore l’art public peuvent être retranscrits dans le réel. Pour Liam, les arts visuels constituent une communication non-verbale, permettant au « regardeur » de faire l’expérience du point de conjonction entre « l’Erfahrung » (l’Expérience documentée par les faits) et « l’Erlebnis » (l’Expérience vécue). Il cherche à produire un dialogue entre ces deux types d’expériences et réalise ainsi des œuvres qui représentent l’histoire avec une forme de fluidité, en ayant recours à l’étude de la proxémie, c’est-à-dire les interactions spatiales inter-personnelles variant en fonction de la culture. Il s’intéresse particulièrement aux transformations spatiales au travers d’évènements à la fois mis en scène et spontanés, préférant fonder son travail autour d’un évènement particulier qui empiète lui-même sur un environnement urbain et documenter les façons dont ces transformations se manifestent au travers des interactions humaines. L’interprétation des évènements se matérialise en un monument dédié à l’expérience vécue. Cette approche lui permet d’explorer les types divers de médias visuels comme le film, la photographie, des diagrammes/dessins et l’installation à part de la performance (l’exécution) et la recherche. Liam Witter a montré son travail au sein des expositions « White Wilderness », The Newbridge Project, Newcastle Upon-Tyne (GB), 2011 ; «Newcastle Fine Arts (Graduate) Show», Newcastle University, Newcastle Upon-Tyne (GB), 2011 ; «Newcastle Fine Arts (Graduate) Show», Shoreditch Town Hall, Londres (GB), 2011 ; «Winter-term show», V_VU, Bratislava (SK), 2010 ; «Eggs Dreaming of Utah», Star & Shadow, Newcastle Upon-Tyne (GB), 2008.

    ‘My practice manifests through the public interventions I make. Consisting primarily of subversive actions that take place in an urban environment. I aim to explore how to translate broad headed subjects such as Urban Development, Regeneration and Public Art into actuality. The artworks I make represent history with a form of fluidity, using the study of proxemics; human-spatial interactions in relation to culture, to produce a dialogue between Erfahrung (Experience document by fact) and Erlebnis (Lived experience). I use visual art as a non-verbal communication to let a viewer experience the conjunction point between the two types of experience. I am particularly interested in spatial transformations through events both staged and spontaneous. I like to base an artwork around a particular event that encroaches itself on an urban environment and document the ways in which they manifest through human interaction. I study the cognitive cycle that is produced. The interpretation of events materializes into a monument to the experience. This approach allows me to explore various types of visual media such as film, photography, diagrams/drawings and installation aside from performance and research.’ Liam Witter

    ORÉ – ‘Peindre la ville de nos mille utopies aux cent couleurs.‘ Oré Débute le graffiti en 1989 et s’installe en Normandie. Durant de nombreuses années, ses lettrages peints sur tous types de supports urbains font connaître son nom. Plus tard, il étudie la calligraphie arabe pour l’intégrer à ses fresques. Lors de voyages au Mexique, il découvre le mythique serpent à plumes précolombien, Quetzalcóatl, qui va devenir un élément central de son univers pictural. Il utilise l’aérosol à main levée ainsi que le pochoir pour réaliser ses créations et développe diverses techniques de collages de ses œuvres dans l’espace public. Tout en faisant écho à ses collages dans les rues de nos villes, ses toiles composent une œuvre différente, riche de références culturelles et artistiques. Sur mur ou sur toile, ses sources d’inspiration demeurent diverses, autant picturales que musicales, littéraires que politiques. Oré réalise régulièrement des fresques thématiques dans le cadre de commandes officielles, expose ses œuvres en France et à l’étranger : Allemagne, Grèce, Espagne, Belgique, Mexique, autant de voyages qui construisent son imaginaire. Au-delà de ses fresques et expositions, on peut voir son Quetzalcóatl taillé en bois, puis collé sur les murs, aux six coins de l’hexagone (Paris, Lille, Marseille, Montpellier, Toulouse, Lyon…) et à l’international (Athènes, Barcelone, Berlin, Bilbao, Bruxelles, Hambourg, Mexico, Vancouver). Début 2010, paraît le livre ‘J’irai taguer sur vos tombes‘ (Éditions LSAA) qui retrace ses principales étapes artistiques. Il transmet sa passion du graffiti dans le cadre d’ateliers auprès de tous types de public. Il intervient ainsi dans de nombreux champs éducatifs (éducation nationale, populaire, spécialisée, milieu carcéral, institut de travailleurs sociaux). En parallèle à son parcours de plasticien, il participe depuis cinq ans à la création de spectacles vivants (Écoute Les Murs Parler, Mur Murs, Les Trois Brigands) avec diverses formations musicales. Il réalise également des performances lors d’évé­nements ou de festivals dans toute la France et en Europe. Site : <www.artore.org>, <graffitistory@yahoo.fr>.

    Nicolas RAMEL – Site : <http://www.nicoramel.com/>, <nicoramel@hotmail.com>.

    Glaner des éléments ça et là.

    Les juxtaposer, tisser des liens entre-eux.

    Observer les sens et formes.

    Les laisser s’échapper.

    Établir des règles et des contraintes, en toute mauvaise-foi.

    S’autoriser à les transgresser.

    Divaguer, rigoureusement.

    Ne pas avoir réponse à tout et s’en foutre royalement.

    Hektor MAMET – ‘Ma démarche artistique se interrogée sur l’usage et la consommation des objets et de l’environnement du quotidien. Pendant mes années d’études je commencer par transformer, altérer et reconstruire avec de matériaux inadéquate des objet domestique. Je transforme des objet des consommation en instrument de communication. C’est en me demandant qu’est-ce que c’est ce que je fait que je suis devenu conscient que mes objets sont aussi des instruments pour rentrer en contact avec l’autre. Je commencer alors à penser à de projet dans lequel l’autre est non plus spectateur mais acteur. L’exposition c’est souvent, pour moi, l’opportunité pour créer une nouvelle ouvre plus que en exposer une déjà fait.’ Hektor Mamet (1983) a étudie a Londres à City and Guilds of London Art School (Ba) et  au Chelsea College of Art and Design (Master). De 2008 à 2010 il a participé au programme de recherche la Seine à l’Ecole des Beaux Arts de Paris. En 2009 il a été en residence à IS Wyspa à Gdansk Pologne ou il a réaliser un installation in situ « canteen ». De 2010 a 2011 il a été membre de l’Institu Suisse à Rome et en 2012 il a participe à la résidence UNIDEE à Cittadellarte (Fondation Pistoletto) en Italie. En 2013 il a été en résidence à la Cité Internationale des Arts à Paris et chez Astérides à la Friche la Belle de Mai à Marseille. Il a exposer dans nombreux exposition de groupe notamment 20 Mgnień Wolności (IS WYSPA, Gdansk, Pologne), Rock the casbah (Institut Suisse de Rome, Italie), Memory and Places Disclosed (Fondazione Pistoletto, Biella, Italie), Education (Villa Panza di Biumo, Varese, Italie). Il a exposer solo à la gallerie Artericambi (Verone, Italie) en 2011, au Forum Vebikus (Schaffhausen, Suisse) et à la RADA  (Locarno, Suisse) en 2013. Il est représenté par la Galerie Artericambi à Verone, Italie.

    Projet Le cœur conscient – ‘Je me suis interroge sur que-ce qu’il y a dans le cœur des gents ? Je donc réaliser un grand cœur en tissue et mousse que je invite le gens à porter ! Tout seuls on vas nulle part. L’objet artistique me permet d’entrer en dialogue avec l’autre. Qui est l’autre ? L’autre peut il être un espace de construction ? C’est en m’interrogeant sur ce que je fait que je pris conscience que mon œuvre mes permets de rentrer en contact avec les gens. Le projet « Le cœur conscient » est née lors de la résidence chez Astérides à la Friche Belle de Mai en 2013. Pendant la résidence je me suis interrogée sur comment un lieux de diffusion culturelle peut influencer sur la conscience des gens qui la travers et comment le gens qui travaille à la Friche pense que leur travaille les construise ? J’ai donc fait des entretiens avec les gens qui y travaille et je les ai pris en photo avec le cœur dans leur lieux de travaille. Chez OÙ je propose de questionner où est-que nous allons ? Comment le rencontre de gens sur notre chemin de vie nous influence ? Le cœur et la rue deviendrons ainsi une métaphore sur comment on se construit sur notre chemin de vie.’

    Sigurdur ATLI SIGURDSSON

    You are beautiful no matter what they say, words can’t bring you down. You are beautiful in every single way. Elle avait tout compris. Nous sommes tous beaux et voulons nous connecter. Avec l’oeuvre « Rendez-vous »commandé par OÙ lieu d’exposition pour l’art actuel, Sigurdur Atli Sigurdsson ajoute encore une fonction à l’entité vivante qu’est OÙ. Une structure portable, pliable qui peut être un bar, une surface surélevée où l’on sert des boissons. Alors les gens se regroupent dans l’espoir de sentir qu’ils existent vraiment, dans une forme plus évoluée que seulement sous la forme d’une idée. Le groupe WET avec Mathieu Aimon exprime le même concept, en jouant uniquement ce qui mène au début des chansons. Ils manifestent l’attitude dans le rock and roll, et seulement cela. Dans ce comportement se trouve le pouvoir d’anticipation, défiant l’idée de l’artiste étant obligé de vraiment créer. Pedro Morais : « Sigurdur Atli Sigurdsson, «  Le Dormeur  » (d’après Ty Segall), un Bartleby islandais dans la nuit marseillaise. L’hésitation, l’inachèvement, l’interruption ou comment faire acte de résistance pour inventer des situations incertaines. (…) ».           Site : <http://www.sigurduratli.com>, sigurduratli@gmail.com.

    Après son premier cycle à The Icelandic Academy of Arts, Sigurdur Atli Sigurdsson poursuit ses études à l’Ecole Supérieure des Arts et de Design Marseille-Méditerranée. Il est diplômé avec les félicitations du jury en 2013. Après ses études il part en résidence à CAOS Museum à Terni (Italie) pour présenter son exposition « The Stuff in Between Stuff « . Il a participé à plusieurs expositions de groupe, notamment « Le Pont » à Marseille (France) ; « Partition » à Void Gallery à Derry, (Irlande du Nord) en collaboration avec Static Gallery ; « Errors Allowed – Biennale de la Méditerranée » à Ancone (Italie) ; « Roaming » à The National Mueum of Contemporary Art à Bucharest (Roumanie) ; « Subjective Maps » à The National Gallery of Iceland ; « The Land Seen From the Sea » à Villa Croce à Gênes (Italie) et « Grassroots » à The Living Art Museum à Reykjavik (Islande). Ses expositions personnelles incluent « Letters to Alessandro Castiglioni » qui faisait partie du projet No One Knows à « O Project Room » à Milan (Italie). En 2012 Sigurdur Atli a reçu une mention spéciale de Biennale de la Méditerranée pour sa participation avec la Gallery Lost Horse (Reykjavik, Islande) dans The Others Art Fair à Turin (Italie).

    Erin GIGL – Ni tout à fait formaliste ni formulant des systèmes conceptuels absolus, mes projets mettent l’accent sur la façon dont les événements, images et les objets naissent et se détériorent et les traces physiques que ce processus laisse derrière lui suggérant comment le travail et la contemplation peuvent être extraverties dans l’espace. (Considérablement sortes de palimpsestes.) Avec la mise en scène des situations qui imitent une type de « récolte de données » les résultats confrontent la méthode en place et la méthodologie comme concept. Possibilité d’une tension productive entre la position de l’artiste et la difficulté à dire quel(les) informations sont en train d’être analyser…Vit à Marseille et née à Chicago. Diplômé par le School of the Art Institute of Chicago en 2008, puis diplômé par L’école de Beaux-art de Marseille avec le mention:  « Rebond d’inventivité » en 2013. Artiste Invité et conference public à Hanover College, Université de l’Indiana, Expositions personnelles: Presentación de Presentación de Presentación, avec Carla Escoffery, Viewing Room, Panama City, Act II: Spirit Fingers, avec Dori Hana Scherer, Twelve Galleries, Chicago dont le commissariat d’exposition Jamilee Polson Lacy; et Faire Tapisserie, Galerie de la Placard, Marseille. Site : http://erinmariegigl.tumblr.com/, <http://salondusalon.blogspot.fr/p/blog-page_3764.html>, <egiglster@gmail.com>.

    Jérôme FINO – Site : <http://azertyuiopqsdfghjklmwxcvbn.org/>. Né en 1981, Jerôme Fino est un artiste vidéaste nomade, qui filme et collabore avec d’autres artistes et musiciens, notamment aux travers de sa série « Eyes for ears »(depuis 2009). Sa pratique interroge l’espace public et l’espace sonore par différentes approches, intrusives, activistes, contemplatives qui questionnent pleinement ces mots de John Cage le son est-il suffisant ? Que me faut-il de plus ? Lui proposer de réaliser une exposition sonore à ciel ouvert, c’est donc embarquer avec lui différentes personnes, différentes pratiques, différents territoires, différents champs d’applications autour du son. Une diversité qui le rapproche d’autant des préoccupations musicales développées à OÙ depuis plus de quinze ans.

    Seb CHAN PAO – Site : <https://myspace.com/oapnaq>, <seb@lembobineuse.biz>. Les sources d’inspirations de sa musique sont diverses. Alliant essentiellement des musiques du monde au bruitisme et à l’expérimentation sonore. http://360ciel.wordpress.com/category/noise/

    IDEAL CORPUS

    www.soundcloud.com/idealcorpus

    Ouvrez votre 3e oeil et imaginez un arc-en-ciel aux couleurs apaisées au milieu de l’océan pacifique où deux bisounours font des câlins à leurs amis les dauphins. Du haut de leur nuage en 3D, MC Kawaii et Fruity Freatox invoquent une musique electropicale et paradisiaque aux mélodies insouciantes et mignonnes. Leurs sonorités subaquatiques vous font plonger dans un univers parallèle et psychédélique où le rêve devient une rave.

    Fanny PITMAN poursuit une recherche pluridisciplinaire à la croisée entre arts visuels et sculpture. Depuis plusieurs années, sa démarche se concentre autour de détournement d’objets issus de notre environnement quotidien. Fanny Pitman s’approprie l’univers du mode d’emploi, du kit, de la recette et le pause en tant que protocole de conception et d’élaboration de ses oeuvres. Que ce soit dans ses sculptures ou dans ses dessins, les sujets  paraissent avoir fait l’objet d’un démembrage précis et minutieux pour être ensuite restitués sous une nouvelle forme dont la fonction aurait été neutralisée. Blog : <http://fannypitman.blogspot.com>, fannypitman@hotmail.com.

    Clara DE ASÌS est née en 1988 en Espagne. Compositrice et guitariste, elle travaille sur l’entité du son en tant que langage poétique et explore deux versants de la création sonore : la composition électroacoustique, qui s’effectue en studio, et la musique improvisée sur guitare préparée qui lui permet de développer une pratique sensible de l’instrument en direct et en interaction avec la lecture de textes poétiques. Clara de Asís a participé à divers festivals d’arts sonores (FamFest, Intr:muros, Ubicua, Museruole, Fukushima!, Les Inédits du CipM …) et ses pièces ont été diffusées sur France Musique, Radio Grenouille, Radia et Construyendo Babel. Elle habite et compose à Marseille. Site : http://claradeasis.tumblr.com

    Laura VAZQUEZ est née en 1986, elle vit et écrit à Marseille, elle a publié dans de nombreuses revues de littérature dont Nioques, BoXon, Les cahiers du refuge, Contre-Allée, résonance Générale, etc. Elle pratique la lecture performée et s’est produite au Centre International de la poésie de Marseille, au festival Familiar de Séville, à la galerie des Grands Bains Douches (Marseille), à Intra-muros (Séville), … A participé à la création de pièces poétiques sonores avec la musicienne Clara de Asís, diffusées sur France Musique, radio Grenouille, radio Galère, Radia, etc. Chercheuse et conférencière dans le domaine de la poésie contemporaine. Site : <http://www.lauralisavazquez.com/> ; <http://laura-lisa-vazquez.blogspot.fr/>

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    * OÙ et L’Aventure dans l’espace public au quartier Malpassé dans le 13 ème à Marseille sur la Place des Peupliers et des Cèdres, angle Boulevard Bouge / rue du Marathon. Plus d’infos sur « L’Aventure » et devant « La BMW » : [<http://www.rue89.com/marseille/2009/06/29/marseille-lart-contemporain-est-il-soluble-dans-les-cites> & <http://www.kazeoza.com/41532.html?*session*id*key*=*session*id*val*>].

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    Prestations de l’association OÙ

    EXPOSITIONS, ÉDITIONS, WORKSHOPS, CONCERTS, PERFORMANCES, LECTURES, CONFÉRENCES, SPECTACLE VIVANT, DANSE, PROJECTIONS, CONVERSATIONS, DÉAMBULATIONS URBAINES, DESIGN, ARTS DE LA RUE, ETC…

    OÙ lieu d’exposition pour l’art actuel – 58 rue Jean de Bernardy 13001 Marseille. Horaires et jours d’ouverture variables selon les événements in situ.

    OÙ et L’Aventure – Place des Cèdres, 58 bis Boulevard Bouge, 13013 Marseille Malpassé. Œuvres éphémères dans l’espace public, visibles 24/24, 7/7.

    Galerie OÙ Paradis – 152 rue Paradis 13006 Marseille. Ouvert tous les jours même le dimanche. Passez directement, sonnez à Association OÙ 1er étg, ou téléphonez au 06 98 89 03 26.

    OÙ résidences d’artistes – Marseille (13) et Capbreton (40)

    OÙ en tournée – Hotel Burrhus Supervues Vaison la Romaine (84), HLM et Galerie du 5ème Marseille (13), etc …

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    Contact

    OÙ bureau – Permanence 152 rue Paradis 13006 Marseille, tous les jours sur rdv

    T : 06 98 89 03 26

    F : 04.91.81.64.34

    M : ounousecrire@club-internet.fr

    W : http://www.ou-marseille.com/

    http://www.cnap.fr/ou-lieu-dexposition-pour-lart-actuel

    OÙ lieu d’exposition pour l’art actuel

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    Axelle Régine GALTIER

    Présidente et responsable de la programmation artistique de l’association OÙ
    <http://www.facebook.com/axelle.galtier?ref=tn_tnmn>

    Présidente et membre coresponsable des projets de l’association Perspective Trouble
    <http://www.verif.com/societe/ASSOCIATION-PERSPECTIVE-TROUBLE-794538447/>

    Trésorière et membre coresponsable des projets du réseau associatif Marseille expos <http://www.marseilleexpos.com/>

    Présidente et membre actif de Take Off Production – Association des Arts du spectacle vivant <http://www.manageo.fr/fiche_info/508670429/36/take-off-production.html>

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    Plus d’informations

    Depuis le 1er mai 2000, l’association OÙ expérimente le projet OÙ lieu d’exposition pour l’art actuel à Longchamp-Friche 13001 – Ceci n’est pas une galerie – Leslie Compan. Le lieu d’exposition de la rue Jean de Bernardy, semble paradoxalement se situer dans un territoire indéterminé qui serait peut-être celui de l’art contemporain. Aménageant les possibles, OÙ est un territoire où se déterminent simultanément les espaces de création et des temps de regards. Mais la quête est ancré dans les réalités économiques et laborieuses de la création et de l’exposition, le lieu travaille à exploiter les contraintes. Ce qui motive OÙ relève davantage de la volonté de refléter le bouillonnement créateur des artistes, la dimension active de leur travail en tant que réalité. OÙ est avant tout LE lieu où l’on produit pour expérimenter, pour engager une quête artistique parfois inattendue. Les expositions présentées provoquent avant tout la rencontre entre les productions différentes et un large public. En 2013 un 11 mai, l’événement dans l’espace public OÙ et L’Aventure à Malpassé 13013 voit le jour. Un rendez-vous qui mêle les arts de la rue et arts plastiques, est donné. Cet engagement est un moteur de régénération urbaine, musée à ciel ouvert en plein coeur des quartiers Malpassé 13ème jusqu’à Longchamp-Friche 1er. De quoi faire éclater le carcan des disciplines artistiques (ici, on n’imagine de formes que collaboratives, qui se fichent d’appartenir à un quelconque champ de la culture). Au commencement de cette propagation artistique, le point « OÙ et L’Aventure » à Malpassé 13013 Marseille, un volume de ciment, reste d’une oeuvre de Richard Baquié, l’Aventure, désormais détruite par manque d’entretien. Une dialectique le lie au terminus « OÙ lieu d’exposition pour l’art actuel » 13001 Marseille. Effectivement, tandis qu’à Malpassé l’espace et les murs extérieurs sont investis des interventions des artistes, le lieu d’exposition OÙ offre la visite d’une exposition dans l’espace et les murs intérieurs. Ces « murs » deviennent un creuset de « situations » et espace d’hospitalité. Les artistes participant aux projets invitent le visiteur à dialoguer, à inventer, à se déplacer, à produire, à tester. Et novembre 2014 l’association ouvre la Galerie OÙ Paradis. La galerie privée est mis à disposition d’un commissaire pour une durée de deux ans, qui lui ré attribue un nom et organise une programmation spécifique de son choix. La galerie de 5,5m2, située 152 rue Paradis 6ème arrondissement dans le quartier chic de Marseille, avec une vue incroyable, est un espace intime et personnel dominant la ville, autre fois chambre de bonne. Cela veut dire qu’on ne peut pas tout montrer, cela veut dire qu’on optimise un lieu avec toutes les choses que l’on a apprises et expérimentées pour donner un sens certain, tout au moins voulu, ardemment souhaité, à des oeuvres qui n’auraient peut-être jamais été vues dans d’autres circonstances.

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