Du 26/03/2014 au 30/03/2014
DRAWING NOW PARIS 2014
du 26 au 30 mars 2014
Espace Commines – 17 rue Commines 75003 Paris
avec MARTINE FEIPEL & JEAN BECHAMEIL, TIMOTHÉE TALARD ET PASCAL BERTHOUD.
La Galerie Gourvennec Ogor est heureuse d’annoncer sa troisième participation à l’Édition 2014 de Drawing Now Paris.
À cette occasion, la galerie présentera un Focus des artistes luxembourgeois Martine FEIPEL & Jean BECHAMEIL, juste avant leur très importante exposition personnelle au Pavillon de l’Arsenal à Paris à partir du mois de juin 2014.
Représentants luxembourgeois de la Biennale de Venise 2011, sélectionnés parmi Kounellis, Plensa, Venet, ou Wurm à la dernière Triennale de Beaufort. La plus grande partie du travail de Martine Feipel & Jean Bechameil est constituée par des installations qui essayent d’être des expériences autour desquelles le visiteur peut se laisser aller à un cheminement ouvert sur l’espace et le temps. La géographie des lieux, l’historique ou l’anecdote servent souvent de point de départ à leur démarche.
L’abandon, le vide, et les traces, sont aussi des éléments qu’ils aiment utiliser et qui peuvent constituer une narration à travers laquelle une forme d’histoire et de récit est possible. Dans ce jeu où le visiteur est à la fois un intrus et un intime, ils essaient de fabriquer une géographie qui désoriente et déconstruit.
La Galerie présentera également des travaux récents de Timothée TALARD.
Le travail résolument urbain de Timothée Talard est porté par la violence et la destruction. Les mouvements d’émeutes et de révoltes sont autant de points de départ d’une réflexion sur notre société et ses dérives.
Enfin, la galerie est heureuse de présenter pour la première fois des œuvres récentes de l’artiste suisse Pascal BERTHOUD qui répondant à la question de Richard Leydier « Pourquoi le dessin ? » disait ceci :
« Tout simplement parce que le dessin, bien avant la parole, s’avère le premier mode d’expression élaboré par un humain au début de sa vie, et par lequel tout enfant construit sa relation au monde. Tous les enfants dessinent, et tous les artistes furent autrefois des enfants. Tous conservent, à des degrés et sur des modes divers, une relation privilégiée avec le dessin au cours de leur carrière, car il est un outil indispensable : le dessin est en effet le vecteur d’une fulgurance de la pensée, sa transcription immédiate en images. Il relève communément du fantasme et du rêve. Il ouvre une fenêtre sur tous les registres de l’inconscient, du mot d’esprit à l’inquiétante étrangeté. »