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  • Eva Barto, Frank Perrin, Véronique Bourgoin
  • TRAILER #1
  • VÉRONIQUE BOURGOIN
    ÉVA BARTO
    FRANK PERRIN
    #TRAILER #1

    FINISSAGE JEUDI 24 SEPTEMBRE  #ACTION PAINTING / VÉRONIQUE BOURGOIN / PERFORMANCE 20 HEURES @LA GAD MARSEILLE

    POUR CONNAÎTRE LES JOURS D’OUVERTURE DE L’EXPOSITION / DU JEUDI AU SAMEDI CONSULTEZ LA PAGE D’ACCUEIL WWW.LAGAD.EU OU SUR RENDEZVOUS@LAGAD.EU
    @34 RUE ESPÉRANDIEU F-13001 MARSEILLE

    gif-trailer

    LA GAD PRESENTS TRAILER, AN EXHIBITION WITH WORKS
    BY VERONIQUE BOURGOIN, EVA BARTO AND FRANK PERRIN
    WWW.LAGAD.EU TO KNOW WHICH DAYS THE SHOW IS OPEN
    34 RUE ESPERANDIEU F13001 MARSEILLE
    CONTACT ARNAUD DESCHIN +33 (0) 675 672 096 INFO@LAGAD.EU

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    Galeries amies :

    Analix Forever, Genève.

    Deborah Schamoni, Munich.

    Galerie Eva Meyer, Paris.

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    à voir :

    Marseille expos

    Art-O-Rama

    Paraéidolie

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    “La GAD is a private gallery without subsidies or sponsors. The gallery moves around its center in Marseilles in a dynamic, anarchic, and original trajectory.”

    «La GAD est une galerie privée qui ne bénéficie d’aucune subvention ni sponsor. C’est une galerie qui se déplace autour de son centre situé à Marseille s’installant dans des trajectoires dynamiques, anarchiques et originales pour remuer dans tous les sens.»

     dossier de presse   &   presse release = english version

    Avec Trailer La GAD propose une exposition qui requestionne le white cube, l’espace de la galerie, espace blanc immaculé, où se jouent les concepts, les conceptions de l’art, le regard du regardeur, l’apparition de l’œuvre.

    L’exposition est conçue à partir du travail de trois artistes qui proposent des renversements, des mises en abîme, des copies, des reproductions, des choses qui échappent au regard instantané, tout en suggérant l’idée de l’habitation, du lieu de vie, grâce à des éléments tirés de la réalité contemporaine.

    L’œuvre complexe de Véronique Bourgoin est une installation qui met en miroir la chambre d’Arnaud Deschin, mettant en doute la sensation de l’espace et sa représentation en deux dimensions. L’écart entre l’original et la copie nous suggère de réfléchir à l’instant de l’aura benjaminienne, tout en révélant une notion du temps comme interstice, faisant référence à l’Atlas de Warburg dont nous parle Didi Huberman. L’espace et sa représentation œuvrent dans l’intime et s’en détournent par la distance photographique et les décalages d’échelle que celle-ci opère.

    C’est avec des photographies spéculatives sous la forme d’une fiction documentaire, que Frank Perrin étudie les possibilités qu’ont certains appartements (surfaces habitables en location ou en vente), à présenter des espaces blancs, genre de white cube, dans lesquels nous demeurons, créant ainsi entre la galerie d’art contemporain et la vie privée, un renversement du champ d’exposition — habité en l’occurrence. Pourtant le déplacement  du concept à l’objet d’art déposé sur le sol est annulé par l’écart qui se contredit dans la répétition. Ces images conceptuelles retournent l’idéologie marchande du white cube, pour la convertir en territoires artistiques : quand le mètre carré redevient bricolage de concepts aléatoires, et de pensées théoriques…

    Le paradoxe atteint son comble avec Eva Barto, qui se sert du lieu d’exposition pour soustraire au regard ou dissimuler des objets qu’elle choisit de mettre en scène, suscitant une incertitude sur les contraintes convenues de l’accrochage et du contexte d’exposition. Ses œuvres provoquent une indétermination quand aux limites imposées à l’œil, à ce qui se voit, ou à ce qui se reconnaît.

    Trailer agite des contradictions et des apories.

    Que se passe-t-il dans cette caravane ?

    Que transporte-t-elle ? Un mouvement qui s’annule ? Une immobilité qui attend le regard comme un moteur tractant vers des devenirs et des déplacements ? Le mobil-home est permanent rue Espérandieu. Avec cette exposition La GAD relie force d’inertie et processus en mouvement posant une fois de plus la question de la vision qui donne à penser, même l’invraisemblable, pour remuer les idées quitte à associer les contraires dans des variations inattendues.

    Peut-être est-il question là de « Co-intelligence des contraires », pour employer la formule de Marcel Duchamp, afin de parler de deux choses à la fois au niveau de la réception de l’œuvre.

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    « Frank Perrin, philosophe, critique, créateur de la revue Bloc-Notes et du magazine Crash, photographe du post-capitalisme, est dans le faire et le revendique : « Faire m’intéresse plus que de penser, de savoir, ou d’agir. J’aime faire, comme les artistes, ou les paysans, qui « font » des choses et qui apportent ainsi un éclairage sur ce qui se passe dans ce monde, le nôtre, en ce moment même. Faire est le verbe qui correspond le mieux à notre époque : faire, c’est pertinent et c’est modeste, cela prétend pas plus que cela ne fait. Faire donc, et parler, chanter, peindre, écrire, courir après le temps… »Franck Perrin explore les genres photographiques depuis plusieurs années. Après son livre « Défilés », qui montre des urbanités désertes ou désertifiées, il dépeint grâce à l’appareil photographique, dans la série « Postcapitalisme » la ville comme un « non lieu », où l’individu contraint à la consommation s’est substitué au flâneur de Baudelaire. Thème repris au travers de l’exposition « Paparazzi!Photographes, stars, artistes », au Centre Pompidou-Metz. Du 22 février au 9 juin 2014.

    Frank Perrin sera présent dans le programme des conférences organsiées par Art-O-Rama, avec «la métamorphose du white cube».

    1. Barbara Polla le 10.11.2012

    Dimanche 30 août à 16h Le Studio : ART-O-RAMA, Marseille « White Cube is to Rent (les métamorphoses du cube à l’heure du capitalisme avancé », conférence de Frank Perrin.

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    Ce projet d’installation, qui à chaque fois prend une nouvelle forme, est montré depuis 2011 dans des galeries et institutions : dernièrement en 2015 à Fotohof (Salzbourg, Autriche), en 2014 à Paris Photo, au Grand Palais, galerie Eva Meyer (Paris), au Centre d’Art Contemporain de Montreuil, en 2013 à Setareh gallery (Dusseldorf, Allemagne), au Nederland Fotomuseum (Rotterdam / Pays Bas), en 2011 à la galerie Gabrielle Senn, (Vienne, Autriche)… Véronique Bourgoin à découvrir sur le stand Deborah Schamoni en solo show pour Art-O-Rama 2015.

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    Arnaud Deschin présente pour la première fois à Marseille au sein de La GAD des œuvres de l’artiste Eva Barto. Leur collaboration a débuté dès septembre 2014 sur le stand 124 aux puces de Paris et au YIA art fair Paris sur le stand « Stay wild ». En 2015, elle s’est poursuivie sur le stand « Collection Type » de la confidentielle du YIA au Bastille Design Center Paris, et enfin au #22VISCONTI Paris pour le group show « Life Ain’t Fair ». Ce fort soutien privé à l’art émergent a débouché sur des acquisitions de la part de collectionneurs européens.

    Après un diplôme aux Beaux-Arts de Paris en 2013, Eva Barto participe au programme de Post-Diplôme international de L’ENSBA Lyon. Son travail à fait l’objet de trois expositions personnelles à l’IFAL (Mexico) à La BF15 (Lyon) et à Primo Piano (Paris). Après une résidence à Triangle (Marseille), elle présente en 2015 un nouveau projet à la galerie Marcelle Alix (Paris) et prépare actuellement une exposition personnelle à Level One, Gb Agency (Paris) pour 2016.

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