Le Marronnier Rouge : Tronc segmenté et évidé peint en rouge
Daniel van de Velde vit dans le Var et travaille au gré de ses projets. Par la sculpture, l’installation, la photographie, la vidéo, l’écriture ou la poésie, il recherche les réponses les plus justes et les mieux adaptées aux propositions d’interventions et d’expositions qui lui sont faites. En sculpture, son matériau de prédilection est le bois sous forme de tronc, de branches, qu’il évide jusqu’à ce que le matériau ne soit plus qu’une paroi qui enserre du vide. Ces installations donnent la mesure anthropocentrique du lieu où elles s’inscrivent. Quand il photographie, il élabore des séries qui jouent sur un déploiement aléatoire de situations. Quand il filme, il cherche à ce que le rapport au lieu devienne la mesure du temps. Quand il écrit, il le fait de manière saccadée, comme s’il mettait en doute la linéarité du temps. En poésie, il fixe les paramètres d’apparition d’un poème selon des fréquences allant d’un minima visuel à un maxima visuel par tout un jeu de graduations de teintes qui donnent au poème une lisibilité chromatique.
Étendre : fil de lin marouflé sur toile. L’encollage se fait à partir d’un hypothétique centre
que les 5 bandes matérialisent par une persistance rétinienne.
Sur le web :
Sculpture :
Video :
https://www.youtube.com/watch?v=7tRlB0GjHyQ
Visual poetry/poésie visuelle :
http://www.desordre.net/invites/daniel_van_de_velde/index.htm
http://www.vivoequidem.net/Expo/j-ai-mal-j-ai-peur#
http://atelierefuge.fr/post/123486416002/daniel-van-de-velde-octobre-2014-fr%C3%A9quence
http://shandynamiques.wix.com/association#!insurrections/c75w
Biennale internationale de poésie visuelle d’Ille-Sur-Têt (commissaires : André Robèr et Daniel Van de Velde) :
http://poesievisuelletreizegalerie.blogspot.fr/
Ecriture/writing :
http://remue.net/spip.php?article7265