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  • expos de groupe
  • Immaculées conceptions ?
  • Avec :

    Myriam Bornand

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    Son travail interroge les rapports de l’art et du langage, de la forme et du concept.

    Elle développe une œuvre protéiforme qui explore les notions d’ambivalence, de dualité et de sens, d’ordre et de chaos à travers divers mediums; collages, peintures, écritures, photos, vidéos et installations.

    Son travail a été exposé en France et à l’étranger dans des lieux tels que le Musée Ingres, le Ministère de la Culture et de la Communication, La Gaîté Lyrique, le M A C A ainsi que dans des galeries privées françaises et internationales.
    Eva Galtier

    presse evagaltier2017

     

    je mène une recherche autour des esthétiques populaires. Je développe des formes qui valorisent une forme de kitsch trouvées dans des éléments de décoration que l’on peut considérer «de mauvais goût». Mes dernières installations fonctionnent à la façon d’un display, les différents éléments peuvent être disposés et choisis de façon différentes selon les espaces d’accrochage. Ces displays sont élaborés de façon à jouer avec la surenchère décorative afin de créer des ensembles dans lesquels les contraires seraient harmonieusement possibles. Qu’elles soient documentaires ou décoratives les formes qu’empruntent mes réflexions sont traversées par les notions de domestique, de jugement et de vernaculaire. Je m’intéresse principalement à la question de la domestication, de la transformation et de l’appropriation des êtres et des formes de la nature par les humains. Eva Galtier, 2017

     
    Rose Lemeunier

     

    presse vague terrain

     

    « Dans ses dernières séries, Rose Lemeunier creuse et trace des passages : la traversée du paysage se stratifie d’une traversée de l’image. En couvrant ou entaillant des photographies qu’elle rapporte de déplacements, elle retire du visible pour faire surgir des nuées impalpables ou des présences évidées. Par ce délicat grignotage (au sens urbain), point par point, la représentation est mise en faille et se retranche pour laisser place aux mouvements d’un Déluge empruntés aux dessins de Léonard De Vinci .

    C’est alors qu’un autre espace se dessine, sans lieu assigné ; il n’a lieu qu’en dérive de la surface de l’image, vers l’avant ou l’arrière, oscillant entre ici et ailleurs. Sur fond de terrains vagues devenant matrices, les derniers dessins diluviens se renversent, détachent et décalent par jeu de pochoir, pour déployer leurs troublantes fluctuations, hors de tout repère architectural. »

    Anaïs Lelièvre

     

     

     

    LPPM

     

    presse At the first

     

    Mathieu « LPPM » DIDELOT pratique la chirurgie graphique sur les corps offerts

    des filles du net.

    Sélectionnée à la main, extirpée de la masse vulgaire des objets de plaisir,

    la malheureuse élue verra son corps sublimé par l’opération du stylet, affûté tel un scalpel.

    Fusion des corps, ajout de membres, déformation, amputation, transformation…

    Le sujet change de statut, il évolue. Être vu différemment c’est voir différemment.

    Parce-que demain sera post-apocalyptique, fabriquons aujourd’hui les mutations à venir.

     

     

     

    Patrick Michault

     

    presse cactus

     

    Dans leurs cœurs, il y a des cactus 
    Dans leurs portefeuille, il y a des cactus 
    Sous leurs pieds, il y a des cactus 
    Dans l’heure qu’il est, il y a des cactus 
    Aïe ! aïe ! aïe !, ouille ! ouille ! ouille !, aïe ! 

    Pour me défendre de leur cactus 
    A mon tour j’ai pris des cactus 
    Dans mon lit, j’ai mis des cactus 
    Dans mon slip, j’ai mis des cactus 
    Aïe ! aïe ! aïe !, ouille !, aïe ! aïe ! aïe ! 

    Extrait de ¨Les cactus ¨ chanson de JacquesDutronc , paroles de Jean Jacques Lanzman

     

     

     

    Michel Pincaut

     

    presse inconnu

     

    La photographie est écriture de/avec la lumière. L’appareil photographique est un ventre minéral fécondé par la lumière.  A l’imitation de l’art le plus ancien qui nous est donné de connaître, celui des peintures paléolithiques, c’est le lieu d’une émergence. La lumière chemine au coeur de l’obscur, et elle s’affirme comme à la fois ce qui dure et ce qui est fragile. Cette lumière ténue, c’est celle de la conscience humaine. Elle est interrogation sur ce qui se construit et se  déconstruit. Elle interpelle l’homme: dans sa relation avec la nature et le cosmos. Le médium photographique est pour moi un outil d’exploration de la spiritualité.

     

     

     

    David Thelim

     

    presse thelim

     

    David THELIM est un artiste peintre né à Marseille en 1966 il s’intéresse particulièrement à la représentation de  de l’individualité et  du singulier  au sein de la multitide. Ses thèmes de prédilections peuvent l’amener à passer d’une expression figurative à une expression totalement abstraite. Il utilise  pour cela divers médiums tel que la peinture( huile,acrylique, gouache) le stylo a bille et le plastique .

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