Du 09/11/2017 au 30/03/2018
Denis Brun commissaire de “Galerie ÉdOÙard Paradis” (nom donné par D. B.) et Axelle Galtier directrice de la Galerie vous proposent OÙ Galerie Paradis Galerie commerciale.
Plus d’informations sur la galerie privée :
OÙ Galerie Paradis
152 rue Paradis 13006 Marseille
Ouvert tous les jours SUR RDV même le dimanche. Téléphonez…
T : 06 98 89 03 26
M : [ounousecrire@club-internet.fr]
W : [http://www.facebook.com/axelle.galtier]
Page facebook de la galerie : [https://www.facebook.com/edouardparadis]
Autre contact : Denis Brun T 06 62 85 73 98 / M [denisbrun@hotmail.com] / W [https://www.facebook.com/denis.brun]
Un Partenariat avec l’Association Perspective Trouble
L’Association OÙ est soutenu par le Département 13, la Région PACA, la Ville de Marseille et les membres de l’Association OÙ. Partenaires des expositions : QUOTIDIEN DE L’ART et Paris-ART. L’Association OÙ est membre du réseau MARSEILLE EXPOS.
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TEXTE DE PRÉSENTATION GÉNÉRALE
En novembre 2014 l’association ouvre OÙ Galerie Paradis.
La galerie privée est mis à disposition d’un commissaire, artiste de préférence, pour une durée de deux ans maximum, qui lui ré attribue un nom et organise une programmation spécifique de son choix. La galerie de 5,5m2, située 152 rue Paradis 6er arrondissement dans le quartier chic de Marseille, avec une vue incroyable, est un espace intime et personnel dominant la ville, autre fois chambre de bonne. Cela veut dire qu’on ne peut pas tout montrer, cela veut dire qu’on optimise un lieu avec toutes les choses que l’on a apprises et expérimentées pour donner un sens certain, tout au moins voulu, ardemment souhaité, à des oeuvres qui n’auraient peut-être jamais été vues dans d’autres circonstances.
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AVANT PROPOS :
“WE WERE A VERY POOR JETSET est une série d’expositions qui auront lieu au 152 rue Paradis. Elle constitue le départ d’un projet curatorial organisé par OÙ Galerie Paradis qui m’a invité à intervenir dans un nouvel espace en me laissant le libre choix d’y organiser des évènements ou d’y proposer des cartes blanches.”
“Guy Debord ne viendra pas au vernissage, il est déjà mort. Pareil pour Kurt Cobain, pour Alexander McQueen, pour Andy Warhol ou Malcom Mac Laren.
N’espérez pas non plus croiser Christian Boros, Melva Bucksbaum and Raymond Learsy ou Francois Pinaud.
On est dans une galerie, certes dans un quartier chic avec une vue incroyable sur Notre-Dame de la Garde, mais c’est quand-même une ancienne chambre de bonne de 5,5 mètres carrés !
Cela veut dire quoi pour vous ? pour moi, cela signifie : un espace intime et personnel dominant la ville.
Cela veut dire qu’on ne peut pas tout montrer, cela veut dire qu’on optimise un lieu avec toutes les choses que l’on a apprises et expérimentées.
Cela veut également dire : donner un sens certain, tout au moins voulu ou ardemment souhaité, à des œuvres qui n’auraient peut-être jamais été vues dans d’autres circonstances.
Ça pourrait être bien pire : on pourrait être à Moscou en 1982, sans ascenseur, avec de la vodka frelatée qui rend aveugle et des maladies vénériennes sur la cuvette des WC.
Une pierre à la mer ? un jeton virtuel dans une appli “juke-box” ?
Non, une proposition d’expo originale et indépendante.
On fait comme si on ne savait pas dans quel monde on vivait, comme si on était encore à l’école, comme si par définition, on avait l’assentiment de toutes et de tous et qu’à la fin il y aurait toujours 2 mois de vacances en été.
Peu importe la proposition artistique, peut importe sa justesse (par rapport à quoi d’ailleurs ? ) et peut importe son impact sur qui que ce soit d’autre que la personne qui l’aura crée.
On ne parle même plus de freestyle ou de coïncidence recherchée mais plutôt de quête harmonieuse, modeste et bienveillante, tant sur le plan du choix des artistes que sur celui des expositions proposées.
Finalement, tout reste à faire, sans forcément changer son fusil d’épaule mais en déployant un spectre de monstration plus large et waterproof tout en cessant de croire que tout à été déjà fait.
Alors venez seul ou nombreux, mais venez.
Annonce non contractuelle.”
Denis Brun
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