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  • L’Orient sonore
  • Pochette d’un des premiers 78 tours produits par le label levantin Baidaphone en 1907. Le disque présente Farjallah Baida (1880-1933), un chanteur libanais, qui interprète “Ya Ghazali Kayf Ani Abaadouk” (O Gazelle comment t’ont ils éloignée de moi), poème très populaire depuis le XIXe siècle, dans lequel il improvise en arabe littéraire. AMAR - Foundation for Arab Music Archiving & Research © AMAR

    L’exposition « L’Orient sonore » interroge ces musiques de tradition orale menacées du fait des guerres et des bouleversements politiques, de la persécution de minorités ethniques ou religieuses, ou du fait de la mondialisation et de l’évolution des mœurs. Soulevant par là-même, une réflexion sur la préservation d’un patrimoine culturel multiséculaire mis en péril et sur le rôle que les nouvelles technologies offrent pour préserver cet héritage.

    L’exposition se présentera tel un salon d’écoute et de regards : « Plongé au milieu des voix et des instruments, de la musique et des images en mouvement, chacun s’immergera dans un ailleurs musical sensuel et profond, pour découvrir l’expérience vive des traditions musicales du monde arabe. »
    Pierre Giner

    Des événements culturels alimentent cette proposition : concerts, conférences, débats et projections.
    Une publication, complémentaire à l’exposition, sera proposée avec des regards croisés sur la diversité des musiques arabes, leur évolution et l’état actuel de leurs existences.


    —Commissariat : Kamal Kassar (Amar foundation), commissaire général et Fadi Yeni Turk, réalisateur des films
    —Direction artistique : Pierre Giner

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