L’exposition donne à entendre 2 oeuvres sonores.
La première Quelqu’un par terre, est une installation pour 6 haut-parleurs, et se compose elle-même de 3 parties, liées secrètement entre elles.Une première partie utilise les 4 haut-parleurs installés en plan incliné d’un bout à l’autre du premier espace, grand et résonant. Des sons brefs, entrecoupés de silences, éclats d’une chaise métallique violemment jetée au sol, se font entendre en échos et en rebonds d’un mur à l’autre.
Une deuxième partie diffuse, à partir d’un seul ha>ut-parleur, une suite de voix en haut de la mezzanine, transformée, pour l’occasion, en espace protégé et feutré. Ces voix se dévoilent petit à petit au visiteur qui chemine dans l’espace en construisant son écoute. Lorsque les voix apparaissent, un récit se fait jour, des liens se révèlent.Une troisième partie, enfin, cachée quelque part, fait entendre le son du vent, le vent qui passe sous les portes et fait chanter l’architecture.
La deuxième oeuvre, Un soulagement, est diffusée au casque dans la salle de projection. Elle donne son titre à l’exposition.
(dp)
les jeudis 12 et 26 mars nocturne jusqu’à 21h
jeudi 26 février de 19h à 19h30 temps scécial d’écoute avec l’artiste, vernissage à 19h30